Hier, on fêtait la Fête de la Musique, l’occasion de pouvoir partager en famille, entre amis, en couple ou célibataire la diversité et la joie de vivre des concerts à chaque coin de rue. Vous découvrirez dans cet article les origines de la Fête de la Musique, l’importance de la musique dans les cultures asiatiques et les légendes et contes influencés et racontés en musique en Asie.
Les origines de la Fête de la musique
La Fête de la Musique, célébrée chaque année le 21 juin, est une manifestation culturelle emblématique qui invite amateurs et professionnels à partager leur passion pour la musique dans les rues, les parcs, les places et les lieux publics. Lancée en 1982 par le ministère de la Culture français, cette fête a pour but de promouvoir la diversité musicale et de rendre la musique accessible à tous, transformant ainsi chaque coin de rue en une scène éphémère.
Depuis ses débuts modestes en France, la Fête de la Musique a connu une expansion spectaculaire, devenant un événement mondial célébré dans plus de 120 pays. En Asie, cette fête a trouvé une résonance particulière, où elle a été adoptée avec enthousiasme dans des villes comme Tokyo, Pékin, Séoul, et Bangkok. Chaque année, ces métropoles vibrent au rythme des performances en direct, des spectacles de rue, et des festivals, mettant en lumière la richesse et la diversité des traditions musicales asiatiques.
La propagation de la Fête de la Musique à travers le monde témoigne de son pouvoir unificateur et de son rôle essentiel dans la promotion des échanges interculturels. En Asie, elle offre une occasion unique de célébrer non seulement les musiques traditionnelles et contemporaines locales, mais aussi de découvrir des genres et des styles venus d’ailleurs. Cet article explore l’impact de la Fête de la Musique en Asie, en soulignant comment elle favorise la diversité culturelle et les échanges interculturels, tout en invitant chacun à participer et à apprécier la richesse musicale de cette région dynamique.
L’importance de la musique dans la culture asiatique
La musique joue un rôle fondamental dans les cultures asiatiques. La musique en Asie n’est pas seulement un art; c’est une expression profonde de l’histoire, des croyances et des traditions de chaque région. Elle est omniprésente dans les rituels religieux, les festivals culturels, et les moments quotidiens, reflétant ainsi la diversité et la richesse des cultures asiatiques.
En Chine, la musique classique et folklorique est une composante essentielle de la culture nationale. La musique traditionnelle chinoise, riche en histoire et en symbolisme, utilise des mélodies pentatoniques qui créent une atmosphère unique et évocatrice. Cette musique est souvent jouée lors des cérémonies, des festivals et des rituels religieux, et elle est intimement liée à des philosophies comme le confucianisme et le taoïsme. Les instruments traditionnels chinois jouent un rôle central dans la musique. Le guqin, un instrument à sept cordes, est vénéré pour sa sonorité douce et ses associations avec la méditation et la sagesse. Le erhu, un instrument à deux cordes, est connu pour sa capacité à imiter la voix humaine, exprimant des émotions profondes. Le pipa, un luth à quatre cordes, est célèbre pour sa virtuosité et sa polyvalence. Ces instruments, parmi d’autres comme le guzheng, le dizi (flûte en bambou), et le sheng (orgue à bouche), sont des éléments essentiels des performances musicales traditionnelles.
L’Inde, elle, possède deux principales traditions de musique classique : la musique hindoustanie du nord et la musique carnatique du sud. La musique classique indienne est profondément ancrée dans la spiritualité et la philosophie indiennes. Les ragas (modes mélodiques) et les talas (cycles rythmiques) sont des éléments essentiels qui guident les mélodies et les rythmes, chaque raga étant associé à des émotions spécifiques et des moments de la journée ou des saisons. La musique joue également un rôle crucial dans l’industrie cinématographique indienne, en particulier à Bollywood. Les chansons de Bollywood, souvent basées sur des mélodies classiques et folkloriques, sont une partie intégrante des films et contribuent grandement à leur succès. Elles mêlent des éléments traditionnels et modernes, créant ainsi un genre musical unique qui résonne avec un large public.
Le Japon possède une riche tradition musicale qui inclut des genres classiques tels que le gagaku (musique de cour) et le nō (théâtre musical) ç la musique folklorique min’yō. Le gagaku est l’une des plus anciennes formes de musique orchestrale du monde, souvent joué lors de cérémonies impériales et de rituels shintoïstes. Le nō, quant à lui, combine musique, danse et drame, créant une forme d’art théâtral profondément émotionnelle. Les instruments traditionnels comme le shamisen, le koto et le taiko sont encore largement utilisés aujourd’hui. En parallèle, la J-pop est extrêmement populaire au Japon et à l’international. Ce genre musical moderne, influencé par la pop, le rock et la musique électronique, continue de dominer les charts et d’influencer la culture musicale mondiale.
La musique coréenne est riche et diversifiée, allant de genres traditionnels comme le pansori (chant narratif) et le samulnori (musique percussive) à la K-pop moderne. Le pansori, avec ses performances dramatiques de longues histoires chantées, et le samulnori, avec ses rythmes énergétiques joués sur des instruments de percussion, sont des aspects clés de la culture musicale coréenne traditionnelle. La K-pop, un phénomène mondial, combine des éléments de pop, hip-hop, R&B et musique électronique. Elle est non seulement un genre musical mais aussi un mouvement culturel, influençant des millions de fans à travers le monde avec ses productions sophistiquées et ses performances dynamiques.
D’autres pays asiatiques possèdent également des traditions musicales riches et variées. Aux Philippines, la musique combine des influences autochtones, espagnoles et américaines, créant un mélange unique de genres. En Thaïlande, la musique classique thaïlandaise, avec ses ensembles de gamelan et de khon, joue un rôle crucial dans les cérémonies et les spectacles de danse. En Mongolie, le chant diphonique et la musique des steppes utilisent des techniques vocales uniques et des instruments traditionnels comme le morin khuur (violon à tête de cheval). En Malaisie, la musique traditionnelle et moderne reflète l’héritage multiculturel du pays, avec des influences malaises, chinoises, indiennes et indigènes. Au Cambodge, la musique classique khmère et le théâtre d’ombres sont des formes artistiques essentielles. Au Népal, les chants et danses traditionnels, souvent liés aux festivals religieux et culturels, jouent un rôle important dans la vie quotidienne.
La musique en Asie joue un rôle fondamental dans la préservation et la transmission du patrimoine culturel, tout en évoluant avec le temps pour incorporer des influences modernes et internationales. La Fête de la Musique, en célébrant cette diversité, nous invite à explorer et à apprécier les riches traditions musicales de l’Asie.
Légendes et contes autour du 21 Juin et de la Fête de la musique en Asie
Le Solstice d’Été et les Légendes Asiatiques
Le 21 juin, jour du solstice d’été, est une date chargée de significations symboliques dans de nombreuses cultures à travers le monde, y compris en Asie. Ce jour, le plus long de l’année, est souvent associé à des légendes et des histoires fascinantes qui célèbrent la lumière, la nature et la musique.
En Chine
La Légende de la Déesse Xi Wangmu
En Chine, le solstice d’été est associé à la Déesse Xi Wangmu, la Reine Mère de l’Ouest, une figure mythologique qui règne sur les montagnes Kunlun et le paradis occidental. Selon la légende, Xi Wangmu organise une grande fête chaque année lors du solstice d’été pour célébrer la lumière et l’abondance. Lors de cette fête, les immortels et les mortels se réunissent pour jouer de la musique, danser et festoyer. Les pêches d’immortalité, qui ne mûrissent qu’une fois tous les 3000 ans, sont servies, symbolisant la longévité et la vitalité. Cette histoire reflète l’importance de la musique et des célébrations dans la culture chinoise.
L’Histoire Touchante de la Petite Musicienne
Une histoire moderne et touchante liée au solstice d’été en Asie raconte l’histoire d’une petite fille nommée Mei-Ling, vivant dans un village reculé de Chine. Passionnée par la musique, Mei-Ling jouait du guzheng, un instrument traditionnel chinois, chaque jour après l’école. Son rêve était de jouer lors de la grande fête du village qui avait lieu chaque année le jour du solstice d’été.
Cependant, Mei-Ling était très timide et n’osait pas jouer en public. Encouragée par sa grand-mère, qui lui racontait les légendes de Xi Wangmu et de la grande fête des immortels, Mei-Ling décida de surmonter sa peur. Le jour du solstice, elle monta sur scène et joua une mélodie douce et émouvante, inspirée par les histoires de sa grand-mère.
Sa performance toucha profondément tous les villageois, qui furent émus aux larmes. À partir de ce jour, Mei-Ling fut connue comme la « petite musicienne » du village, et sa musique devint une partie intégrante des célébrations annuelles du solstice d’été. Cette histoire moderne illustre la manière dont la musique peut unir les communautés et inspirer les jeunes à poursuivre leurs rêves.
La Légende du Soleil et de la Lune
Une légende chinoise raconte l’histoire du Soleil et de la Lune, deux amants célestes qui ne pouvaient se rencontrer qu’une fois par an, lors du solstice d’été. Selon la légende, le jour le plus long de l’année, le Soleil brille plus fort pour illuminer le chemin de la Lune. Ils se rejoignent brièvement au crépuscule, offrant aux humains un coucher de soleil spectaculaire. La musique, jouée par des immortels, remplit le ciel pour célébrer leur union. Cette légende met en avant l’importance de la lumière et de la musique comme symboles d’amour et de réconciliation.
Au Japon
La Légende de Tanabata (Orihime et Hikoboshi)
Bien que Tanabata soit généralement célébrée le 7 juillet ou le 7 août, ses légendes sont parfois associées au solstice d’été. Tanabata, ou la Fête des Étoiles, est basée sur la légende d’Orihime (la Tisserande, associée à l’étoile Vega) et Hikoboshi (le Bouvier, associé à l’étoile Altair). Selon la légende, ces deux amants célestes, séparés par la Voie Lactée, ne peuvent se rencontrer qu’une fois par an. Les célébrations de Tanabata incluent des décorations de bambou sur lesquelles les gens accrochent des souhaits et des poèmes. La musique traditionnelle, les chants et les danses font partie intégrante des festivités, créant une atmosphère de joie et d’espoir.
La Légende de Amaterasu et la Grotte Céleste
Dans la mythologie japonaise, Amaterasu, la déesse du soleil, s’était cachée dans une grotte, plongeant le monde dans l’obscurité. Les autres dieux et déesses, désespérés de ramener la lumière, organisèrent une fête devant la grotte pour attirer son attention. Ils dansèrent et jouèrent de la musique joyeuse, créant une telle atmosphère de fête qu’Amaterasu, curieuse, sortit de la grotte pour voir ce qui se passait. À ce moment-là, la lumière du soleil revint dans le monde. Cette légende est souvent associée au solstice d’été, symbolisant le retour de la lumière et l’importance de la musique et de la danse dans les célébrations.
En Inde
La Légende de Surya et le Solstice d’Été
Surya, le dieu du soleil dans la mythologie hindoue, est particulièrement vénéré pendant le solstice d’été. Une légende raconte qu’à cette période, Surya monte sur son char tiré par sept chevaux, représentant les sept couleurs de l’arc-en-ciel, et traverse le ciel avec une éclatante brillance. Les musiciens et les chanteurs rendent hommage à Surya avec des prières chantées et des ragas dédiés au soleil, croyant que cela apportera prospérité et bonnes récoltes. Cette tradition reflète l’importance du soleil et de la musique dans la vie quotidienne et spirituelle en Inde.
Le Festival de la Musique des Dieux
En Inde, le solstice d’été est parfois associé à des célébrations musicales en l’honneur des dieux. Une légende populaire raconte qu’à cette période de l’année, les dévas (divinités) descendent sur terre pour écouter la musique jouée par les musiciens humains. On dit que les dieux sont particulièrement enchantés par les ragas joués à l’aube et au crépuscule. Cette légende met en lumière l’importance de la musique classique indienne, qui est souvent considérée comme une offrande divine et un moyen de se connecter avec le spirituel.
En Corée
La Légende de Dano
Dano, célébré le cinquième jour du cinquième mois lunaire, est une fête traditionnelle coréenne qui, bien que généralement antérieure au solstice d’été, porte des significations semblables de purification et de protection. Selon une légende, pendant Dano, les esprits malveillants sont chassés grâce à des rituels impliquant de la musique, des danses et des jeux. Les gens se lavent les cheveux avec des herbes médicinales et portent des amulettes pour se protéger. La musique joue un rôle crucial dans ces rituels, reflétant le pouvoir apaisant et purificateur des mélodies.
La Légende de Jiknyeo et Gyeonwu
En Corée, une version de la légende de Tanabata, connue sous le nom de « Jiknyeo et Gyeonwu », est parfois associée au solstice d’été. Jiknyeo, une tisserande céleste, et Gyeonwu, un bouvier céleste, étaient des amants séparés par la Voie Lactée. Ils ne pouvaient se rencontrer qu’une fois par an, le jour du solstice d’été. Les corbeaux et les pies formaient un pont pour qu’ils puissent se retrouver. Les gens célèbrent cette légende avec des chants et des danses, en espérant une rencontre heureuse et bénie par la musique et la joie.
Aux Philippines
La Légende de Malakas et Maganda
Dans la mythologie philippine, une légende raconte l’histoire de Malakas (« le Fort ») et Maganda (« la Belle »), les premiers humains. Ils sont nés d’un bambou fendu par un oiseau mythique lors du solstice d’été. Malakas et Maganda, créés par la lumière du soleil, apportèrent la vie sur terre. Pour célébrer cette légende, les Philippins organisent des danses et des chants traditionnels qui honorent la création et la vitalité. La musique joue un rôle central dans ces célébrations, symbolisant l’énergie et la force de la nature.
En Thaïlande
La Légende de Phra Phikanet
En Thaïlande, le solstice d’été est parfois associé à Phra Phikanet, le dieu de la sagesse et des arts, connu sous le nom de Ganesh dans la culture hindoue. Une légende raconte que lors du solstice d’été, Phra Phikanet descend sur terre pour bénir les artistes et les musiciens. Les temples organisent des cérémonies musicales et des spectacles de danse pour honorer le dieu et demander son inspiration et sa protection. La musique traditionnelle thaïlandaise, avec ses instruments comme le ranat (xylophone) et le khim (dulcimer), est au cœur de ces célébrations.
En Mongolie
La Légende de Naran
En Mongolie, le solstice d’été est célébré avec le festival de Naadam, qui met en avant les « trois jeux virils » : la lutte, le tir à l’arc et la course de chevaux. Une légende raconte que Naran, le dieu du soleil, bénit les compétitions et les célébrations qui ont lieu en son honneur. Les musiciens jouent des airs traditionnels avec le morin khuur (violon à tête de cheval) et chantent des chants longs, appelés urtiin duu, pour appeler la bénédiction du dieu soleil. Cette légende montre l’importance de la lumière solaire et de la musique dans la culture mongole.
En Malaisie
La Légende de Puteri Gunung Ledang
La légende de Puteri Gunung Ledang, une princesse mythique vivant sur le mont Ledang, est célébrée en Malaisie lors du solstice d’été. Selon la légende, la princesse Puteri Gunung Ledang posa sept conditions impossibles à un sultan qui souhaitait l’épouser, pour protéger son royaume et rester libre. Les villageois organisent des spectacles de théâtre et de musique pour raconter cette histoire de courage et de sagesse. Les instruments traditionnels comme le gamelan et le rebab (violon à archet) accompagnent les récits, renforçant l’importance de la musique dans la transmission des légendes.
Au Cambodge
La Légende de Reamker
Reamker, la version cambodgienne du Ramayana, est souvent performée lors de festivals de musique et de danse, y compris autour du solstice d’été. Une légende raconte qu’à cette période de l’année, les dieux descendent pour observer les représentations du Reamker, apportant prospérité et paix au royaume. Les performances sont accompagnées de musique pinpeat, utilisant des instruments traditionnels comme le roneat (xylophone) et le skor thom (tambour). Cette légende souligne l’importance des arts performatifs et de la musique dans la culture cambodgienne.
Au Népal
La Légende de l’Annapurna
L’Annapurna, la déesse des récoltes et de la cuisine dans la culture népalaise, est célébrée lors du solstice d’été pour assurer des récoltes abondantes. Une légende raconte qu’Annapurna descend de sa montagne pour bénir les champs et les cuisines. Les villageois organisent des festins avec des danses et des chants pour honorer la déesse. Les chants traditionnels et la musique, utilisant des instruments comme le madal (tambour) et le sarangi (instrument à cordes), jouent un rôle central dans ces célébrations, symbolisant la gratitude et la demande de bénédictions.
En Indonésie
La Légende de Dewi Sri
Dewi Sri, la déesse du riz et de la fertilité en Indonésie, est honorée pendant le solstice d’été pour assurer de bonnes récoltes. Selon la légende, Dewi Sri descend sur terre ce jour-là pour bénir les champs de riz. Les agriculteurs organisent des cérémonies avec de la musique gamelan, des danses et des offrandes de riz pour remercier la déesse et demander sa bénédiction. La musique gamelan, avec ses sons mélodieux et rythmés, joue un rôle crucial dans ces célébrations, reflétant l’harmonie entre les humains et la nature.
Au Vietnam
La Légende de Thanh Giong
Thanh Giong est un héros légendaire vietnamien né pendant le solstice d’été. Selon la légende, Thanh Giong était un garçon muet et immobile jusqu’à l’âge de trois ans. Lorsqu’il entendit parler de l’invasion étrangère, il demanda de la nourriture pour gagner de la force et se leva soudainement, devenant un guerrier géant. Il mena les troupes vietnamiennes à la victoire en chevauchant un cheval de fer et en utilisant des bambous comme armes. Après la victoire, il monta au ciel, devenant un immortel. Chaque année, le jour du solstice d’été, des spectacles de musique et de danse sont organisés en son honneur, célébrant son courage et son esprit indomptable.
La musique et les légendes occupent une place centrale dans les cultures asiatiques, incarnant à la fois la mémoire collective et les valeurs spirituelles de chaque société. Elles offrent une fenêtre sur l’âme des peuples, transmettant des histoires ancestrales et des philosophies de vie à travers les générations. En Asie, les légendes racontées par la musique deviennent des moyens puissants de communication, unissant les individus au-delà des barrières linguistiques et géographiques. Elles nous rappellent l’importance de la tradition, de l’identité culturelle et du patrimoine immatériel dans un monde en constante évolution.
La Fête de la Musique, célébrée chaque année le 21 juin, joue un rôle crucial dans la promotion de la diversité culturelle et des échanges interculturels. En mettant en avant la richesse et la diversité des traditions musicales asiatiques, cet événement encourage une meilleure compréhension et appréciation des différentes cultures. Que ce soit à travers des concerts, des ateliers ou des rencontres musicales, la Fête de la Musique permet aux artistes et aux spectateurs de découvrir et de partager des sonorités et des rythmes venus d’ailleurs. Cette célébration universelle de la musique devient ainsi un pont entre les cultures, favorisant le dialogue et l’unité.
En cette journée spéciale, nous vous encourageons à participer aux événements organisés près de chez vous et à plonger dans la richesse musicale de l’Asie. Laissez-vous envoûter par les mélodies envoûtantes du gamelan indonésien, les rythmes dynamiques des tambours taiko japonais, ou encore les harmonies sophistiquées de la musique classique indienne. Chaque performance est une invitation à voyager, à découvrir et à célébrer la beauté et la diversité de notre patrimoine musical mondial. En participant à ces événements, vous contribuez non seulement à la préservation de ces traditions artistiques, mais aussi à la création d’un monde plus ouvert et plus tolérant.
La musique est une langue universelle qui transcende les frontières et unit les cœurs. Tant que l’on peut vivre en musique, célébrons ensemble les liens indéfectibles qu’elle tisse entre nous.
Musasian vous remercie pour la lecture de cet article et vous souhaite une bonne lecture des prochains articles ! N’hésitez pas à me donner vos avis et remarques en commentaire 🙂
Sources
- Wikipedia – Fête de la Musique
- Chinese Music
- Indian Music
- Traditional Japanese Music
- Korean Music
- Chinese Mythology: An Introduction – Anne Birrell
- China Highlights
- Japanese Tales – Royall Tyler
- Nippon.com
- Myths and Legends of India – William Radice
- India Culture
- Korean Folk Tales – Im Bang et Yi Ryuk
- Korea.net
- Philippine Folk Literature – Damiana L. Eugenio
- Philippines Tourism
- Thai Myths and Legends – Jan-Öjvind Swahn
- Thai Culture
- Mongolian Folk Tales – Elizabeth Kendall
- Discover Mongolia
- Malay Magic – Walter William Skeat
- Malaysia Culture
- Cambodian Folk Stories from the Gatiloke – Muriel Paskin Carrison
- Cambodia Tourism
- Folk Tales of Nepal – Kesar Lall
- Nepal Tourism Board